Renaissance forcé [pv Godot]

Alors voici... un lien à regarder pour comprend un peu mon arrivée... Celle-ci parlant de ma fin sur les terres du monde auquel j'appartiens...



À la suite de sa mort dans son monde, alors que l'épée était destinée à tomber dans l'oublie; l'action tenté par Ultimécia atteind le monde de Bohan. Vogant sur le flot pour entreprend son dernier voyage vers le repos... le ciel se couvra, des nuages noirs couvrir le monde, des éclaires déchirèrent le ciel alors que d'autre éventraient la terre dans un fracas assourdissant. L'univers d'Heavenly ne se fragmenta guère...il fut réduit a néant, alors que sous la magie déferlant sur ces cendres Heavenly Sword réagit et dans de malstrome elle rejoind le corps de celle qui avait su la maitriser.

Après plusieur tournie et sans avoir retrouver le repos, le corps tantôt inerte de la belle jeune femme atterit à la frontière du lac Hylia et les Bois Perdus. Des miliers de pétales composant son lit funèbre reposait autour d'elle, c'est dans une douleur lacinante qu'elle fut ramener à la vie par le pouvoir de l'épée... qui était planter comme une croix manquant une tombe au dessus de sa tête... La jeune femme se remit à respirer difficilement et puis ouvrit les yeux... Le décor autour d'elle était flou, elle cligna des paupières un certain nombre de fois avant d'y voir claire...c'était l'aube...et elle était dans un lieu inconnue, rien ne lui était familier sauf le métal froide planter à quelques centimètre en haut de sa tête. Sa longue chevelure de feux libre retombait autour d'elle comme un voile dense et sauvage; telles des flammes l'enveloppant.

Elle se redressa, tituba un peu et vint saisir l'épée....

Cette fois je n'y comprend plus rien... j'ai choisi... pourquoi cela maintenant, tout devait être terminé

[Désolé pour le retard ! Ca devrait aller mieux maintenant ! :3]


Une belle jeune femme avait fait son incursion en Eternia. Mais sa beauté semblait un poison dangereux. Danger était par ailleurs le mot qui semblait lui convenir le plus... du moins, c'est ce que son apparence reflétait. Cette femme respirait la force et le pouvoir, et nul doute que Godot n'était pas à la hauteur... Qu'importe ! Il ne désirait pas se battre de toute façon. Mais il aurait été stupide de laisser un tel élément échapper à la Guilde Din...

La Guilde Din, voué à la construction d'un monde meilleur via la destruction... Un monde fait de silence et de sang, l'idéal de la Nécromancienne Ultimécia et résultat autrefois espéré de la Grande Symphonie. Ce projet avait échoué et la Sorcière s'était réfugiée dans son chateau... Un homme avait choisi de reprendre son but et de le mener à bien. De plonger Eternia dans le sang et les flammes, pour faire ensuite rejaillir la beauté d'un monde en paix et dépourvus de vie... Cet homme était Godot, sans doute celui qui connaissait le mieux la Sorcière à l'heure actuelle... Il avait à ses ordres bon nombre de disciples et d'esclaves qui formaient la Guilde Din... Guilde toujours à l'affut de membres forts et précieux...

"Vous devez vous demandez où vous êtes, n'est-ce pas ?..."

Godot s'approcha doucement, les bras le long du corps prouvant ainsi qu'il n'était pas armé. De toute façon, nulle arme n'aurait pu le sauver de la colère de cette jeune femme, il en était persuadé...

"Jolie demoiselle, laissez-moi vous présenter Eternia... Monde regroupant divers mondes et divers univers... Et monde que le destin veut nous forcer à accepter comme étant le nôtre désormais..."

Godot souriait. L'important était de montrer qu'il n'était pas un ennemi. Il expliquerait à cette jeune l'hérésie qu'est l'existence en Eternia et pourquoi ce monde et tous ses habitants doivent être réduits au silence. Cette beauté rousse serait sans conteste son meilleur élément, les autres étant pour l'instant des rebelles et barbares stupides et grotesques... Hors, bien que l'objectif des Din fut la destruction, il n'était pas question que cela se fasse sans la moindre touche d'élégance...

"...mais vous comme moi ne sommes pas du genre à obéïr au destin, n'est-ce pas ? C'est pourquoi je viens, en gentleman bien sur, vous offrir une échappatoire... Une chance de modifier ce pseudo destin... A vous de choisir si vous désirer l'écouter ou pas..."

Il n'imaginait pas cette jeune fleur de feu rejoindre les Nayru ou les Farore... Toute cette force gâchée... Seuls les Sans-Coeurs seraient un obstacle. Mais Godot se le jura : il se trouvait devant une future Din...

Alors qu'elle venait à peine de se réveiller dans un monde des plus étranges et sans pour autant dénudé de danger, un homme mystérieur apparu des bois et c'était approcher d'elle. Il avait une grace et un classe qu'elle n'avait pas connu hors de quelques prince ou roi de son monde maintenant détruit. Elle se releva ne le perdant pas de vue, le moindre de ses mouvements étaient analysés, il n'aurait absoluement aucune chance contre elle.

Eternia alors c'était ainsi que ce nommait ses terres incipides et sans contenant propre... un mélange de plusieurs univers et fusionné par les destructions de d'autres encore. Cela ne lui fit certes pas plus plaisir, il avait raison sur ce point... le destin n'avait rien avoir la dedans et jamais elle ne c'était plier au destin, elle faisait ses choix par elle-même, et non parce qu'elle était élue ou celle qu'on avait destinée à ce choix.

Sagement, car Nariko n'était point d'épourvue de sagesse et d'intelligence... donc sagement elle écouta les paroles du l'homme. Elle apprit de sa bouche le commencement d'Eternia et son but d'être un univers sortit tout droit du rêve d'une folle..mais elle ce le garda. Le pouvoir toujours le pouvoir...et encore du mal...Mais il était intriguant et ses mots n'étaient point dénudés de sans aux oreilles de Nariko.

Larme à la main, elle s'avança de l'homme dont elle ignorait toujours le nom. Elle s'arrêta à quelques centimètres de lui... elle si près qu'il pouvait rescentir un léger vibrement émanant de la femme...son aura d'une puissance irréelle...près à exploser n'importe lequel des obstacles sur son chemin. Malgré ses allures de guerrière, de femme fatale... une voix angélique sortit d'entre ses lèvres pulpeuses aux arômes de fruits.

Vous parlez hélàs trop, pour oublier l'essentiel qui êtes-vous donc pour tout savoir ceci? Comment pourrais-je simplement avoir envit d'écouter davantages les paroles d'un homme qui malgré l'élégance qu'il dégagea n'as pas le tact de ce présenter avant de lancer n'importe quelle proposition. Peut être une fois votre nom entendu, cette histoire d'échappatoire pourrait m'intéresser...mais je ne cherche pas d'échappatoire hélas, si je suis ici c'est pour une raison... qui malheureusement fera couler énormément de sang.

D'un geste rapide, la géante épée de retrouva attacher solidement dans le dos de la jeune femme. Son visage angélique, ne souriait pas, il était simplement calme et sans expression contradictoire. Ses émotions parfaitements contrôlés, elle n'était le genre de femme à ce décontenancer pour un homme, ni a être une fleur bleue.

Je suis Nariko fille des Nomades, alors arrêter avec vos jolies demoiselles...je suis une guerrière et non une faible femme qu'on émoi de jolis mots.

*Ma... Magnifique !...*

Elle était pile comme Godot l'avait imaginée ! Non... Elle surpassait toutes ses attentes ! La jeune femme devant lui était d'une fougue effrayante. On aurait dit un concentré de colère qui aurait pris les formes d'une déesse vengeresse... Godot se demanda un moment si lui sortir un barratin pour la faire entrer chez les Din était obligatoire... Nariko semblait taillée pour le combat et la violence. Et quoi qu'elle puisse dire, quoi qu'elle puisse faire, l'homme savait qu'elle se frayerait un chemin en Eternia fait de sang et de cadavres...

Godot garda son sourire et récupéra son assurance...

"Toutes mes excuses, je manque à tous mes devoirs... On m'appelle Godot, je suis le fondateur d'une guilde dont le but ultime est la destruction de ce monde..."

Godot ne chercha pas à identifier la réaction de Nariko face à cette révélation. Il ne cherchait d'ailleurs plus à la faire entrer dans sa guilde... Il savait que ce choix n'en était pas un. Que la jeune femme rousse et dangereuse n'avait d'autre destin que le carnage. Et ce carnage, seule la Guilde Din pourrait lui offrir.

"Mademoiselle, je n'irais pas par quatres chemins. On ne dirait pas comme ça, mais je n'aime pas perdre mon temps en futilités, bien que vous êtes sans doute ma rencontre la plus intéressante depuis mon arrivée ici... Je ne suis pas un bagarreur, loin de là, mais je ressent en vous cette aura dévastatrice qui appelle le combat. Aussi, j'aimerais vous donner les moyens d'exterioriser cette violence en rejoingnant nos rangs et en devenant chef de nos armées... Vous n'aurez aucune autre contrainte que celle de détruire, encore et toujours..."

Sur ces paroles, Godot s'agenouilla devant la jeune femme et lui effleura la main...

"Je vous demande humblement de devenir la Déesse de la Destruction que tous ici attendent... et de délivrer les Eterniens d'un destin qui ne leur convient pas..."

Nariko écouta les paroles avec une attention particulière de l’homme devant elle. Elle sentit qu’il avait une certaine admiration pour ce qu’elle était. Ainsi il n’aimait pas la bagarre, cela sautait aux yeux qu’il était plutôt du genre à faire faire le sale boulot à ses hommes de mains. Il était part dessus le marché fondateur d’une guilde ayant le but de la destruction de se monde…étrange, pourquoi détruire un monde dans lequel on est pris et devons évoluer, détruire était futile. Il y avait des choses plus importantes encore.



La belle guerrière ne bougea pas d’un poil, sa longue chevelure rousse voletant à la moindre brise ambiante. Son regard ambré regardait Godot, elle sentait l’ambiguïté dans ses mots il voulait lui faire à croire qu’elle avait le choix alors qu’il la pensait destinée à le suivre à se rallier à lui. Elle l’avait déjà prouvé une fois, le destin n’était pas infaillible, les étoiles n’étaient bonne qu’à raconter les histoires du passé pour éduquer le présent afin de leur faire prendre conscience de leur futur. Combien le savait ? L’épée dans son dos brillant d’un lueur noire alors que Nariko décida d’elle-même de sceller son destin comme bon elle le semblait.



Ce que vous me proposez ne me plait absolument pas.



Godot s’agenouilla alors devant elle et lui saisit la main, c’était comme s’il l’implorait elle n’avait pas coutume d’une telle faiblesse afin d’arriver à ses fins. Cet homme prétendait ne pas savoir l’art du combat, il savait par contre l’art de charmée combien de pauvres imbéciles étaient tombés dans son piège tissé par ses paroles enivrantes. Nariko resta debout et fit un pas de plus et baissa son regard ambré sur Godot qui était agenouillé.



Rampez-vous ainsi devant chaque femme, ou bien simplement devant cette Ultimécia Godot ? Elle marqua une pose, mais il n’avait pas besoin de répondre. J’ignore ce que vous voyez en moi, mais je suis loin d’être une déesse, je n’ai pas cette prétention. Je tiens à mettre au clair une chose, je n’ai aucun ordre à suivre de vous et de personnes d’ailleurs. Je ferais ce que bon me semble, le droit de détruire m’appartient à moi seule et de me l’imposer n’est certes pas la meilleure des idées que vous ayez eu. Je pourrais très bien commencer par vous.



Elle se baissa à son niveau pour le fixer droit dans les yeux, même si ceux-ci étaient cachés par ce truc étrange. Son visage était dangereusement près de celui de l’homme, il pouvait presque sentir ses lèvres contre les siennes alors que sa belle voix s’élevait de nouveau.



Si je peux faire ce que bon me semble, je veux bien porté l’étendard de Din. Mais je veux aussi me retrouver face à cette Ultimécia et de toutes personnes ayant fondé ce monde.



Cela n’avait pas à ce faire immédiatement, Nariko voulait avant tout découvrir Eternia afin de mieux comprendre et ainsi d’agir avec sagesse. Mais une chose était clair pour elle et cela ne se laissa pas transparaitre chez elle ni dans son regard, ni dans ses gestes ou le timbre de sa voix… Elle détruirait ceux qui on amener souffrance et peine, mais surtout elle aurait la mort d’Ultimécia et des autres.

Rencontrer Ultimécia... Cette jeune femme avait plus de cran que quiconque... La Nécromancienne était un concentré de pure haine. Bien qu'il était sur que Nariko fut puissante, Ultimécia la tuerait d'une simple gifle... D'ailleurs qui en ce monde était capable de tuer Ultimécia ?... Personne, c'était certain !...
Qu'elle fasse ce qui lui plaira ! Godot sentait que la force de cette beauté n'attendait qu'une chose : faire couler le sang. Et cela allait pleinement en la faveur de Godot et de la Guilde Din...

Godot rampait devant Ultimécia ? Encore faudrait-il qu'il l'eut rencontrée... Ultimécia n'était rien d'autre qu'une voix et une silhouette qu'il avait entrevue avant son arrivée ici. Celle-ci lui avait intimé de poursuivre son oeuvre et Godot s'était effectué sans trop de convictions... Quelle gloire pouvait apporter la destruction d'un monde ? C'était simple...

*Ne pas se soumettre au destin... Cette femme m'a fait venir en Eternia, elle m'a ordonné de détruire ce monde, mais je n'en suis pas moins libre de mes actes... Et un jour, lorsqu'elle verra son rêve de destruction réalisé... Lorsqu'il ne restera plus qu'elle et moi en Eternia... Alors, j'apparaitrais dans son dos... et...*

Godot fut tiré de ses pensées par une douleur vive et perçante. Quelque chose, sans un son, s'était planté dans son épaule, pas trop profondemment, mais suffisamment pour causer une souffrance suffisante. Se remettant dans cette douleur, Godot plongea ses doigts tremblants dans la plaie et en extrait alors une pierrerie d'une grande beauté...

"Mais ce... C'est... un diamant ?...!"

D'autres pierres précieuses, sifflèrent dans le ciel, perçant celui-ci et tombant à travers l'épais feuillage du bois perdu. Ces diamants tombaient à grande vitesse et leur nombre allait en s'accroissant. La blessure que Godot avait reçue en annonçait bien des autres... Il fallait partir, le plus rapidement possible !

Ne réfléchissant pas aux éventuelles conséquences de ses actes, Godot agrippa le bras de son interlocutrice et courut à travers la forêt, échappant de peu à la pluie mortelle...

"Je connais un refuge non loin d'ici ! Nous y serons en sécurité !..."

*Et au moins, je sais que j'y trouverais du café !...*


[Je te laisse faire un dernier post ici si tu veux ! Je vais créer le sujet au Manoir Croft ! :3]

Nariko vit les éclats brillants tomber sur eux, elle en évita un plus deux, avant que Godot ne se fasse toucher et la saisit pour la tirer à toute vitesse dans les bois jusqu'à une demeure étrange. Elle n'aurait pas cru l'homme aussi en forme, oui il était de bonne apparence, mais pas comme un guerrier et elle savait que la course le fatiguerait. Heureusement pour elle Heavenly Sword était énorme, et la portégeait contre l'impacte des diamants alors qu'elle courait derrière Godot. Elle n'Avait que quelques érafflures bénignes.

Plus il semblait fuir, plus la pluie de diament s'intensifiait.